Vitamine D, virilité, maladies cardiovasculaires, diabètes

Chaque jour, les chercheurs découvrent de nouvelles vertus attribuables à la Vitamine D, selon le magazine http://www.biensur-sante.com.

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Selon Wikipédia 2015 lLa vitamine D est une vitamine liposoluble (soluble dans les graisses : les lipides). C’est une hormone retrouvée dans l’alimentation et synthétisée dans l’organisme humain à partir d’un dérivé du cholestérol sous l’action des rayonnements UVB1de la lumière.

Chez l’homme elle existe sous deux formes : D2 (ergocalciférol) produite par les végétaux ou D3 (cholécalciférol) d’origine animale. Ces deux molécules sont des 9,10-sécostéroïdes. Les propriétés curatives de l’huile de foie de morue contre le rachitisme ont été découvertes en 1824 par l’allemand D.Schütte9. En 1919 Edward Mellanby fait des expériences sur des chiens qui l’amènent à conclure que le rachitisme est causé par une carence en vitamine liposoluble10. La vitamine D a été identifiée en 192211 : Elmer McCollum démontre que l’huile de foie de morue prévient encore le rachitisme après totale destruction de savitamine A, il en déduit qu’elle contient une autre substance qu’il désigne vitamine D. En 1932 Adolf Windaus isole la vitamine D2, puis en 1934 la vitamine D3.
Ses propriétés font l’objet de nombreuses recherches, tant sur ses effets « classiques » (minéralisation osseuse, métabolisme phosphocalcique) que « non classiques » (sur le muscle, le système immunitaire, le rein, l’appareil cardiovasculaire)12. Plus de 2 500 publications sur la physiologie de la vitamine D en lien avec le cancer (déficit en vitamine D associé à une augmentation du risque relatif de certains cancers colorectaux et du sein) sont ainsi recensées en 201013.
La vitamine D intervient dans l’absorption du calcium et du phosphore par les intestins, ainsi que dans leur réabsorption par les reins, sous l’influence de la PTH. Ses effets sont contrebalancés par la calcitonine.
D’autre part, elle influence plus de 200 gènes2,3 et aurait une action de réparation de l’ADN.
Une quantité suffisante de vitamine D est particulièrement nécessaire durant la petite enfance afin d’éviter le rachitisme. Une quantité suffisante est également nécessaire chez l’adulte afin d’éviter l’ostéomalacie, maladie fréquente et insuffisamment dépistée en Europe. Elle diminue le risque d’ostéoporose4 .
Elle pourrait avoir un effet bénéfique dans de nombreuses maladies comme le diabète5, certains cancers6,7,8 et même des démences.

La vitamine D sert à la prévention de certains cancers, la protection contre les maladies cardiovasculaires, la sclérose en plaques ou le psoriasis. Depuis que la vitamine D a été reconnue déterminante dans la lutte contre le rachitisme et l’ostéoporose, on lui attribue toutes les qualités propres à en faire la panacée de demain. C’est une vitamine d’autant plus sympathique qu’il suffit globalement de se mettre au soleil 20 minutes par jour et de manger un peu de poisson gras pour la synthétiser. De là à en faire un puissant aphrodisiaque, il y a un pas que des chercheurs autrichiens viennent de franchir allègrement.

Un apport suffisant en vitamine D aurait, selon ces chercheurs autrichiens, un effet positif sur le taux de testostérone de l\’organisme masculin. C’est une étude menée par l’Université de Médecine de Graz qui a permis d’aboutir à ce résultat. D’après les examens qui ont été réalisés, les hommes dont le taux de vitamine D est d’au moins 30 nano grammes par millilitre de sang, présentent un taux de testostérone nettement supérieur à celui des individus de même sexe dont le taux de vitamine D est moins élevé. En outre, cette étude confirme que le taux moyen de la principale hormone sexuelle mâle connaît les mêmes variations que le taux de vitamine D. Ces deux taux chutent dès le mois d’octobre, au début du semestre d’hiver, avant d\’atteindre leur niveau le plus bas en mars. « Les hommes qui veillent à un apport suffisant en vitamine D agissent donc en faveur de leur taux de testostérone et notamment de leur libido », explique Ad Brand, porte-parole du ‘Sunlight Research Forum’ (SRF), Forum de recherche Soleil.

La baisse concomitante du taux de vitamine D et des capacités sexuelles masculines serait donc due au déficit solaire, selon M. Ad Brand.

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