Par Paul-Alexis François
L’ONU n’a jamais été un instrument de paix, avais-je dit à une amie, lors de l’annonce de l’arrivée de l’ONU en Haïti en 2004. C’est un instrument utilisé par les nations impérialistes pour protéger des empires, lui avais-je dit, selon mes analyses des actions passées de l’ONU. Je manquais d’arguments pour la convaincre à ce moment-là. Cependant. je trouvais douteux que l’ONU débarque dans un pays en paix. La crise de 2004 avec les mercenaires américains déguisés en rebelle mal masqués, soulevait un doute sérieux dans mon esprit.
Par ailleurs, le trafic des êtres humains avec celui de la drogue et des armes fait partie d’activités criminelles les plus rentables. Il y en avait déjà avant l’arrivée des forces ONUSIENNES en Ayiti. Cependant le fait que le personnel onusien est toujours m^;é à ces transactions illicites, partout où il passe me laissait présager de tristes événements comme ce fut d’ailleurs le cas en 1915, lors de la 2e occupation d’Ayiti, après celle de Christophe Colomb en 1492. S’agissant des humains tout est vendable : leur force de travail, leur sang, leurs organes, et leurs corps. Les deux (2) Duvalier et leurs sbires se sont enrichis en vendant sang, cadavres et force de travail des aysyens en république dominicaine. Ils recevaient un pourcentage sur les coupeurs de canne à sucre enrôlés en république Dominicaine, par exemple. Vous pouvez avoir des évidences de cette tradition de la Grande Babylone en lisant le livre sur CHalmay Perat chef Kako de 1915.
Haïti est un pays pacifique. Les haitiens vivent dans un pays où la violence est bien moindre qu’en République Dominicaine, à côté. Haiti est ciblé pour protéger les intérêts des empires qui ont mis en place à la tête de l’état des Latortue, Martelly, Lamothe, dans un seul but: mettre en place un système pour protéger des commerces très rentables qui créent des retombées en millions de dollars. Parfois les enfants sont torturés, forcés d’avoir des relations sexuelles avec des animaux. Ils ne sont pas punis mais rebvoyés dans leurs pays dès que l’affaire commence à s’ébruiter. Beaucoup de filles mineures ont été enlevées d’Haïti, disparues sans laisser de trace.
Des haïtiens réfugiés à Montréal, après le tremblement de terre de janvier 2010, m’en avaient parlé. Ils m’avaient rapporté que non seulement les militaires de l’ONU en Haïti volaient les chèvres des paysans pour la consommation de leur chair mais encore, ils kidnappaient systématiquement des jeunes filles après l’école pour les violer et les relâcher sous menaces de représailles si jamais elles osaient parler. Certains policiers sont de bons payeurs quand ils s’agit d’avoir des relations sexuelles avec des mineurs filles ou garçons, d’autres non.
La vidéo de l’entrevue de madame Celhia Lavarène est plus crédible encore que ces témoignages parce qu’elle est une ancienne employée de l’ONU en Bosnie de 1999 à 2001 sous les ordres du général Jack-Paul Klein, représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en Bosnie de 1999 à 2002. Si on se fie au témoignage de de Mara Rodovanovic, Fondatrice de LARA, un ONG luttant contre les traffics sexuels, madame Celhia Lavarene est très courageuse. Madame Rodovanovic raconte comment
Katherine Bolkovac, membre de la police intnationale de l’ONU 1999-2002, en Bosnie , a été mis à l’écart, dès qu’elle a fait des revélations sur les traffics sexuels des mineurs. Elle recevait des menaces. Elle avait si peur qu’elle évitait de dormir dans la maison louée pour sa mission. Elle savait que deux policières en Bosnie ont été assassinées pour avoir dénoncer des militaires.
Quand l’ONU arrive quelque part, ça explose, l y a des exactions qui se commettent, dit madame Celhia Lavarene. L’esclavage sexuel est encore bien vivant. C’est une des plus grandes violations des droits de l’homme. Des milliers d’enfants en Haïti n’ont pas de père après que leurs mères aient été violé ou abusés sexuellement pour une bouchée de pain. L’ONU protège ses casques bleus. C’est assez hallucinant partout en Haïti, il y a eu des scandales. Il y a sur papier une politique de tolérance zéro à l’ endroit des abus sexuels qui n’est jamais mis en pratique. Ils demandent des filles au visage jeune aux proxénètes. Les policiers onusiens paient bien des fois mais d’autres fois ils ne paient pas
David Lamb, enquêteur en chef de l’ONU au Kosovo en 2001-2002 dit dans la vidéo que l’on s’emploie à étouffer les enquêtes.
Celhia de Lavarène, ancienne chargée de mission en Bosnie 1999-2001, fondatrice de STOP , Stop trafficking of People, est vraiment courageuse. La mission de cet organisme sans but lucratif est de mettre fin au trafic humain. L’ONU persiste à ne rien faire, ose-t-elle dire. L’ONU n’est qu’un maillon de la chaîne. C’est pourquoi l’ONU protège ses casques bleus. L’esclavage est aboli sur papier mais dans les faits il y a des milliers d’enfants esclaves sexuels en Haiti. C’est hallucinant, le nombre de bordels en Haiti où travaillent les mineurs. Partout où passent les casques bleus, en Haiti, partout où ils sont envoyés, il y a des milliers d’enfants qui sont exploités sexuellement. À l’ONU, il y a sur papier une politique de tolérance zéro mais quand on demande aux personnes chargées de faire respecter ces politiques, qu’est-ce qu’on fait dans tel ou tel cas, la réponse est rien.
Bien d’avantage que des enquêtes que l’on s’emploie à étouffer, ce sont les accusations des proxénètes à l’encontre des policiers de l’ONU qui les auraient raquettés qui commencent à faire du bruit, dit l’animateur en introduction de la vidéo de l’entrevue que j’ai visionnée, sur Internet sur le blog de Elsie News. On s’en inquiète à New-York, continue-t-il. En effet c’est courant que des représentants des Nations Unies sont l’objet de soupçons et d’accusations en matières de trafique humaine.
Le trafic d’enfants pour l’esclavage sexuel est un marché qui rapporte, dit Celhia de Lavarène, chargée de mission de l’ONU en Bosnie entre 2001-2002. Beaucoup de pervers de par le monde sont preneurs, dit-elle. En Bosnie, elle a rencontré personnellement des fillettes qui ont été torturée, agressées sexuellement, forcées à avoir des relations avec des animaux. Elle dit que l’ONU refuse d’enquêter sur ces cas et de punir les coupables. Quand le scandale éclate, la politique est de renvoyer les coupables dans leurs pays immédiatement, sous n’importe quel prétexte, afin d’étouffer l’affaire.
Au moment où il est question des viols présumés des soldats de l’ONU français en République de Centre Afrique,entre autres, ce témoignage d’une femme cadre d’une ONG.
A 0:19, elle parle du cas d’Haïti
Elle dit qu’on lui avait demandé , à elle et à son organisation, de se rendre dans en Ayiti pour ouvrir un centre d’accueil pour des enfants entre 4 et 10 ans, des enfants qui avaient été soit kidnappés, soit faussement adoptés pour servir d’esclaves sexuels.
Elle déclare : « …Et beaucoup d’utilisateurs sont des membres de l’ONU…Moi je le sais et l’ONU le sait aussi. »
En regardant cette vidéo assez atroce, je comprends maintenant à quel point mes dénonciations des photos à caractère pédo-pornographiques de M. Abassi de très jeunes enfants haïtiens et parfois des bébés nus ou dans des tenues dénudées, étaient dérisoires. Dérisoires parce que le trafic est connu et même, comme dit l’interlocutrice dans la vidéo couverte par l’ONU.
De plus, comme on le voit dans le cas du Kossovo, les personnes qui dénoncent ces crimes, dans ce cas, deux policières de l’ONU, ont été assassinées.
Ce qu’il faut voir dans ce silence de l’ONU et de la société haïtienne, c’est qu’il est du domaine du possible qu’en dehors des petits proxénètes, des personnages importants de la vie politique, intellectuelle et économique locale, peuvent être impliquées soit comme trafiquants, soit comme utilisateurs.
Combien de bordels d’enfants à Port-au-Prince ?
C’est toute cette tambouille nauséabonde et criminelle mise en place en 2004 par l’intermédiaire de Latortue et consorts, qui compose le soubassement du gouvernement Tèt Kale et qui l’autorise à déstabilliser Haïti.
Le réseau de corruption est si important et comprend tant de gens qu’on ne peut toucher à aucun maillon de la chaîne, aussi petit qu’il soit (Abassi et ses photos); et qu’il faut abattre ceux qui risqueraient de mettre un grain de sable dans la machine de corruption.
C’est ainsi que l’enquête sur la mort du juge Joseph a été enterrée au Canada- après un simulacre d’autopsie. C’est ainsi que M. Boulos a pu déclarer qu’un audit sur la gestion de Lamothe risquerait de faire éclater le pays. Et le pire c’est qu’il dit sans doute vrai. Il sait exactement de quoi il parle. C’est ainsi que s’explique le procès baclé de Sonson La Familia et de son associé. Sonson La Familia n’était pas autorisé à parler, sinon il risquait en balançant des noms, de faire comme dit M. Boulos éclater la société haïtienne.
Et aussi, se place dans cette même réalité la ruée actuelle vers l’immunité- et donc l’impunité. Le nombre exorbitant de candidats n’est qu’un leurre, un moulin à vent, pour permettre l’élection de ceux qui doivent l’être obligatoirement, non seulement pour se garer de la justice mais pour assurer la continuité du banditisme légal qui fait des millionaires dans un secteur de la population.
Bien que ces gens-là soient assurés de l’impunité au regard de leurs liens collés/serrés avec les réseaux de corruption locaux et même mondiaux (niches fiscales, blanchiment d’argent), il n’empêche qu’on n’est jamais assuré d’un mauvais coup du sort -comme vu avec C. Brandt. D’où l’importance de se placer sous le parapluie des Chambres. Ce qui ne veut dire que le système n’hésiterait pas, pour sa survie, à se trouver quelques têtes de lampistes à sacrifier si nécéssaire.
La vente avérée d’enfants haïtiens âgés de 4 à 10 ans comme esclaves sexuels est l’une des composantes de ce système organisé en Haïti pour protéger les prédateurs.
Les clients de la prostitution sont à l’opposé de toute éthique et de toute empathie ; ils sont sept fois plus nombreux à confesser qu’ils violeraient une femme s’ils pouvaient s’en sortir en toute impunité. Même lorsque les michetons observent une situation où la femme est victime de la traite ou exploitée, ils ne le signalent pas. Dans une étude récente aux EU ;
_ 41% des acheteurs de sexe ont sciemment utilisé à des fins de prostitution une femme qui était sous le contrôle d’un proxénète.
_ 66% des acheteurs de sexe disent avoir constaté que la majorité des femmes sont attirées, trompées ou victimes de la traite dans la prostitution (Farley&al,2011)
En Australie un rapport de Save the Children des Nations Unies (1999) considérait que les États de NSW (New South Wales) et de Victoria (états qui ont légalisé les bordels) étaient les pires États australiens en matière d’abus sexuels des enfants et de leur exploitation commerciale (CMC, 2004:30). L’état de Victoria est reconnu pour avoir l’un des plus hauts taux de prostitution enfantine du pays et peut-être du monde.
On ne diminuera la prostitution des enfants et la traite des êtres humains qu’en s’attaquant à la demande, qu’en pénalisant les michetons, comme le recommande l’ONU contre le crime (Joy Ngozi Ezeilo, Rapporteur spécial de l’ONU sur le trafic des êtres humain, 2013/05/31), comme le recommande le Parlement Européen (Honeyball, L’exploitation sexuelle…, Fév. 2014) et le Conseil de l’Europe (José Mendes Bota, Doc 13446, avril 2014)
Les informations de madame de Lavarène sont corroborées par le site Haïti infos :haitiinfo.net.
On peut y lire ceci : Les casques bleus déployés en Haiti ont entretenu des relations sexuelles transactionnelles, échangeant de la nourriture et des médicaments contre des faveurs sexuelles, avec plus de 200 femmes et jeunes filles mineures, selo le premier jet d’un rapport que s’est procurée l’agence Associated Press, qui dit aussi que cette estimation est tr;s inférieure à la réalité.
Selon le rapport du nouveau Bureau des services de contrôle interne que l’agence de presse s’est procuré, un tiers des exactions et abus sexuels présumés concernent des mineurs.
Ces révélations choquantes résultent d’une enquête réalisée en Haiti. 231 personnes interrogées ont affirmé avoir été contraintes à des actes sexuels avec des casques bleus de l’ONU en échange d’objets de première nécessité. Le gouvernement fantôche installé par la France, les États-unis et le canada font beaucoup de propagande autour des routes qui mèmnent aux mines haitiennes et des aéroports construits pour l’écoulent le transport des ressources minières et du personnel de ces cpmpagnies mais taient leur peu d’effort pour mettre fib à la faim, le manque de toit pour les sans abris, le besoin d’articles ménagers qui constituent dès lors des objets de luxe séduisants pour les sans emploi qui constituent la majorité de la population du pays. Le rapport indique que ces objets de première nécessités, et les chaussures pour aller à l’église, les téléphones portables, les ordinateurs portables, les parfums constituent des déclencheurs irrésistibles du chantage sexuel, dit le rapport.
La mission de destabilisation des 7000 hommes des Nations Unies, en Haiti, a commencé en 2004. Le rapport note que l’absence de toute action claire montre que l’affaire a reçu peu d,attention. Les enquêtes pro forma prennet environ unan seon l’agence Associated Press.
Dans une autre vidéo que j’ai visonnée sur le site www.haitiinfos.net, j’aieu l’occasion de voir en direct le viol d’un jeune adolescent , Johnny Jean, de Port-Salut dans le Sud d’Haiti, par 4 militaires onusiens Uruguayens. Ils ont filmé leur acte sur un téléphone cellulaire et l’ont distribué aux enfants de la place afin d’humilier Johnny qui menaçait de dénoncer leurs abus sexuels sur des jeunes filles. Ils l’ont violé et l’ont menacé de le tirer si jamails il osait porter plainte. C’était sans compter sur la bravoure d’un jeune de Port-Salut du nom de Enzo Valentin qui a rapporté les faits au député Dr Sinal Bertrand. Enzo Valentin a rapporté au député que les militaires onusiens envoyaient les enfants acheter de la marijuana et de l’alcool qu’ils partageaient avec eux en échange de sexe. D’autres enfants se contentaient de bonbons.
Dr Sinal Bbertrand, diplômé de l’école de médecine de Cuba en 2005, était très mal à l’aise, parce qu’il manquait de preuve. Johnny refusait de témoigner parce qu’il avait peur. Sa mère aussi refusait de témoigner, par peur de représailles, bien que dr Sinal Bertrand ait été leur médecin de famille. D’ailleurs, on peut voir dans la vidéo de l’agression que Johhny portait le chandail no 19 du député de Port Salut qui a été élu sous la bannière du parti politique Unité.
Quand le député, Dr Sinal Betrand a réuni les responsables du contingent uruguayen à Port-Salut, il a fait appel à tous les gens de la place pour venir témoigner mais la plupart des enfants qui avaient le vidéo avaient reçu l’ordre de l’effacer sous peine de représailles. Un enfant dont la copine a été violé par les soldats onusiens avaient gardé la vidéo et l’a remis au député qui l’a montré aux responsables du contingent. On peut voir clairement, dans la vidéo, trois soldats de descendance européenne maintenir le jeune Johnny Jean au sol tandis qu’iun quatrième entièrement nu, descendait le pantalon de Johnny pour l’humilier à répétition pendant qu’on entend les autres militaires rire aux éclats.
BOMBSHELL UN DOSSIER UN aid workers raped 60,000 people as it’s claimed organisation employs 3,300 paedophiles
The dossier claims United Nations aid workers have raped 60,000 people and estimate that the organisation employs 3,300 paedophiles
EXCLUSIVE
By Tom Newton Dunn, Political Editor
12th February 2018, 10:00 pm
Updated: 13th February 2018, 8:22 pm
A WHISTLE blower has claimed UN staff could have carried out 60,000 rapes in the last decade as aid workers indulge in sex abuse unchecked around the world.
The claim is in a bombshell dossier that former senior United Nations official Andrew Macleod handed over to DFID Secretary Priti Patel last year.
A whistle blower has claimed UN staff could have carried out 60,000 rapes in the last decade
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A whistle blower has claimed UN staff could have carried out 60,000 rapes in the last decade
In it, Professor Macleod also estimated there are 3,300 paedophiles working for the world body’s various agencies alone.
Thousands more “predatory” sex abusers specifically target aid charity jobs to get close to vulnerable women and children.
And there has been an “endemic” cover-up of the sickening crimes for two decades, with those who attempt to blow the whistle just getting fired.
Sharing his dossier with The Sun, Prof MacLeod last night warned that the spiralling abuse scandal was on the same scale as the Catholic Church’s.
Professor MacLeod lhas warned that the spiralling abuse scandal was on the same scale as the Catholic Church’s
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Professor MacLeod lhas warned that the spiralling abuse scandal was on the same scale as the Catholic Church’s
The respected academic said: “There are tens of thousands of aid workers around the world with paedophile tendencies, but if you wear a UNICEF T-shirt nobody will ask what you’re up to.
“You have the impunity to do whatever you want.
“It is endemic across the aid industry across the world”.
“The system is at fault, and should have stopped this years ago.”
Professor MacLeod is campaigning for far tougher checks on aid workers in the field
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Professor MacLeod is campaigning for far tougher checks on aid workers in the field
Professor MacLeod worked as an aid boss for the UN all over the world, including high profile jobs in the Balkans, Rwanda and Pakistan – where he was chief of operations of the UN’s Emergency Coordination Centre.
He is campaigning for far tougher checks on aid workers in the field as well as the abusers among them to be brought to justice, and wants the UK to lead the fight.
The professor’s grim 60,000 figure is based on UN Secretary General Antonio Guterres’s admission last year that UN peacekeepers and civilian staff abused 311 victims in just one 12 month period over 2016.
The UN also admits that the likely true number of cases reported against its staff is double that, as figures outside of war zones are not centrally collated.
Last year UN Secretary General Antonio Guterres’s admitted that UN peacekeepers and civilian staff abused 311 victims in just one 12 month period over 2016
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Last year UN Secretary General Antonio Guterres’s admitted that UN peacekeepers and civilian staff abused 311 victims in just one 12 month period over 2016
Prof MacLeod also estimates that only one in 10 of all rapes and assaults by UN staff are reported, as even in the UK the reporting rate is just 14 per cent.
Based on evidence from Prof MacLeod, ex-Cabinet minister Priti Patel – who resigned in November last year – today accused senior officials at DFID of being part of the cover up.
Ms Patel said senior DFID staff tried to talk her out of making a critical speech about aid workers’ sex abuse, arguing that it was only by UN soldiers and to claim otherwise was “over-stepping the mark”.
Britain is one of the top 10 contributors to the UN budget, handing over £2bn a year.
On Monday ex-cabinet minister Priti Patel accused senior officials at DFID of being part of the cover upALAMY LIVE NEWS
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On Monday ex-cabinet minister Priti Patel accused senior officials at DFID of being part of the cover up
Prof MacLeod insisted that meant the “difficult truth” that “child rape crimes are being inadvertently funded in part by United Kingdom tax-payer”.
He added: “I know there were a lot of discussions at senior levels of the United Nations about ‘something must be done’ but nothing effective came of it, and if you look at the record of whistleblowers, they were fired.
“We are looking at a problem on the scale of the Catholic Church — if not bigger.”
Senior Tory MP Conor Burns, who is Boris Johnson’s parliamentary aide, dubbed the Oxfam furore as just “the tip of an iceberg in finding out what has been going on”.
Penny Mordaunt last night vowed to “step up our work to tackle sexual exploitation and abuse across the UN »PA:PRESS ASSOCIATION
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Penny Mordaunt last night vowed to “step up our work to tackle sexual exploitation and abuse across the UN »
Mr Burns was a university friend of Prof MacLeod and called for him to be listened to very seriously.
Mr Burns added: “I believe that there has been systematic, organised and covered-up activity going on over many, many years”.
Penny Mordaunt tonight vowed to “step up our work to tackle sexual exploitation and abuse across the UN and other international organisations”.
In September last year, PM Theresa May also threatened to withhold cash from the UN and demanded it “win back trust”.
No10 today insisted there will be “zero tolerance” towards any acts of sexual abuse.
But Downing Street ducked out of ordering any investigation into Ms Patel’s allegations, despite their seriousness.
Merci.
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